Une économie sociale locale
Renaix dispose d'un large éventail de commerces, qui vont des grands supermarchés aux boutiques de détaillants spécialisés. Ils peuvent être situés en périphérie ou au centre-ville. Nos commerçants locaux constituent un véritable atout pour notre ville. Nous souhaitons investir davantage dans ce commerce local.
Ce que nous voulons
1. Supprimer la taxe communale
- Nous supprimons la taxe communale pour les indépendants et les petites entreprises.
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Avec la « taxe communale générale », mieux connue sous le nom de « taxe communale », la ville de Renaix prélève une taxe de 190 euros par sonnette. Que vous soyez célibataire ou cohabitant, que vous ayez des enfants ou non, que vous travailliez ou que vous soyez pensionné : cela ne fait aucune différence. Tout le monde doit payer la même taxe forfaitaire. Les indépendants doivent même payer deux fois, pour un total de 375 euros. Seul le PTB veut supprimer cette taxe. Cela répond à la demande de l'Unizo.
Le PTB préconise un tax-shift juste. Nous l’avons déjà fait à Zelzate, où nous siégeons au conseil communal. Nous supprimons la taxe communale. Pour compenser, nous épargnons sur la politique et ses projets de prestige : nous supprimons un poste d'échevin et annulons la construction du nouvel hôtel de ville. Parallèlement, nous enregistrons de nouveaux revenus. Nous demandons aux grandes entreprises d'apporter une contribution juste par le biais d'une taxe sur la superficie. Nous complétons l’ensemble par un impôt des personnes physiques juste, qui tient compte de la situation financière de chacun.
2. Nous nous attaquons à l'inoccupation
- La taxe sur l'inoccupation des espaces commerciaux est portée à 2 500 euros par an à partir d'un an d'inoccupation.
- Après cinq ans d'inoccupation, l’espace commercial est exproprié.
- Les espaces commerciaux expropriés sont mis à la disposition des jeunes et des petites entreprises locales.
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À Renaix, 17 % des espaces commerciaux sont vides. Il s’agit du taux le plus élevé de toute la province de Flandre orientale. Il est urgent d’agir à ce sujet.
Malgré la taxe d’inoccupation, l’inoccupation n’a fait qu’augmenter ces dernières années. Nous portons la taxe d'inoccupation à 2 500 euros par an, à partir de la première année d'inoccupation. Après cinq ans d'inoccupation, la ville expropriera le bien pour le transformer en logement social, en espace commercial ou en établissement horeca. L'expropriation est parfaitement possible en vertu du décret flamand sur l'expropriation.
Si un quartier se détériore, la « Stadsontwikkelingsbedrijf Ronse » (Entreprise de développement urbain de Renaix) doit le rendre plus attrayant grâce à une politique foncière et immobilière positive. L’Entreprise de développement urbain de Renaix peut contribuer au développement d'un centre commercial agréable.
3. Des appels d’offre publics justes
- Les entreprises locales bénéficient d’opportunités supplémentaires dans le cadre d’appels d'offre publics.
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La législation concernant les marchés publics permet aux communes d'impliquer activement les entreprises locales dans les procédures. Le PTB souhaite offrir des opportunités supplémentaires aux entrepreneurs et aux indépendants locaux dans le cadre des marchés publics passés par la ville de Renaix. Nous adaptons les appels d’offre aux besoins des PME et des indépendants et supprimons les obstacles administratifs.
4. Un chef de projet en économie sociale locale
- Nous nommons un chef de projet en « économie sociale locale » à Renaix, afin de soutenir les commerçants locaux.
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La ville doit prendre des initiatives. C’est pourquoi le PTB Renaix souhaite investir dans un chef de projet en « économie sociale locale ». Ce fonctionnaire sera chargé de développer et d'organiser des événements locaux en collaboration avec des associations existantes comme l’« Union des commerçants ». Nous contribuons à attirer les subventions des autorités supérieures et favorisons les décisions qui présentent un impact positif sur la mobilité dans la ville.